The Betrayed Square @Anthology Film Archives NYC – 22.09.17

Le Bouge @Rameau d'Or, Genève – 07.05.22

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Sorrn
- Installation sonore @Abbatiale de Bellelay dans Culturoscope et Temps Libre - août 2022
- "La Sorne au coeur d'un livre et d'une exposition", LQJ, 18.11.22
- "La Sorne, une source d'inspiration", RJB, 20.11.22
- "Au fil de la Sorne", Le Temps, 27.11.22

"Comme un road-trip au fil de l’eau. Le Jurassien Daniel Caccin a, ces dernières années, régulièrement suivi le tracé de La Sorne – qui prend sa source aux Genevez pour se jeter dans la Birse à Delémont – à la découverte du flux entretenu par la rivière avec la nature mais aussi, dit-il, les humains qui la bordent. Son travail, qui combine la dimension sociologique d’une enquête photographique régionale à la puissance poétique d’une série d’artiste, donne magnifiquement à voir une région qu’on regarde peu. Si l’on retourne le livre tête-bêche, on peut y lire Sorrn, un poème documentaire en prose de Stéphane Montavon consacré aux gorges du Pichoux et au village d’Undervelier." - Stéphane Gobbo
- "La Sorne sort de son livre", Le Temps, 02.12.22
- "Le passage de Loutherbourg dans le Jura", QJ, 03.12.22

- La Couleur des Jours, hiver 22-23

- "La Sorne se dévoile", RFJ, 15.02.23

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Phonokainôsis
- "Une fin du monde parmi d’autres", par Philippe Simon, Le Temps – 27.08.21
- Recension par Carole Darricarrère sur Libr-critique – 04.07.21
- "Awaiting rescue that may never arrive, the protagonist mourns the loss of the ability to play music. Soon he begins to hear music in his head, a constant hum as he begins to lose his grip on reality, falling into a phantasmagoric hole", par Richard Allen, A closer listen – mai 2021

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dans Vigousse, 5 février 2020

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Le Bouge
- "Le vortex verbal d'un roman total", par Carole Darricarrère dans la revue Passe-Muraille – 15.02.2021
- "Travail de langue - magistral majestueux - qui se saisit du prétexte pour s’y déployer avec force singularité dans un cocktail d’écritures empruntant à tous les arts cohabitant synchrones avec un naturel décapant ; la syntaxe noue un pacte avec l’exigence sans pour autant bouder le langage courant jouant de toute une panoplie de mots avalés dans un jet de salive ou d’autres récemment intronisés comme autant de sons rapides, rameutant de grands textes oubliés d’historiens ou de lettrés (Flaubert dépucelant les mœurs du Nil vaut le détour...), brassant la géopolitique, l’ethnologie, la géologie, l’histoire naturelle des civilisations vivantes voire disparues, les croisant avec d’éphémères messages remixés digitalement avec créativité, récupérant tous ces matériaux disparates, les bougeant, les confrontant, dans un roman multipistes vibrant de poésie, terrifiant d’humanité, qu’importe au fond l’intrigue pourvu que la langue en fasse son affaire au profit de tous : ce qu’il y a de meilleur dans la recette c’est la farce", Carole Darricarrère sur Sitaudis.fr – 21.01.2021
- "Haut le Caire" par Philippe Simon, Le Temps – 21.03.20
- "Echappée en Egypte" par Marc Olivier Parlatano, Le Courrier – 06.03.20
- recension de F. Richard – 24.03.20
- Emission "La Vie est un roman" par Yves Tenret, Aligre FM 93.1 – 03.03.20
- "A la pêche au son" par Stéphane Babey, Vigousse – 31.01.20

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The Betrayed Square
- among 2018 best movies for critic Dzondunkellicht – janvier 2019
- among 2018 best movies for prof & critic Nicole Brenez – 07.01.2019

"... a work that allows both the sound and visuals to hold equal space. The beautiful dissonance of the evocative sounds draws one into a sensory experience that offers a new way to see and, more importantly, hear those critical events."
- Toni Bell, 4 days at Ji.hlava International Documentary Film Festival, in Documentary Magazine – 03.11.18

- Catalogue Pravo Ljudsky Film Festival Sarajevo 2018, p.61
- Programme "Between the seas" Ji.Hlava International Documentary Film Festival 2018

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Sur le pont
- "Fiascos en revue", La Liberté, Thierry Badoud, à propos du n°4 de la revue La 5e saison – 21 juillet 2018

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The Betrayed Square
programme Anthology Film Archive – 22 septembre 2017

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Trahir la place
- interview en compagnie de Gilles Lepore et Fabien Vélasquez, la Bibliothèque en vadrouille – 18 septembre 2016
- Le Temps – 25 septembre 2015

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Les épneumés
radio Espace 2 – 27 juin 2015

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Nous sommes gratuits
Canal Alpha – 24 août 2015

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Crevures, mars 2016
- "Récrire, c’est alors à la fois réécrire et récrier, recréer et récuser", Viceversa Littérature
- "Crevure en chef", Aurélie Cuttat, Les culturbitacées, Radio Grrif – 16 mars 2016
- "Le Jura poétique et corrosif", Tamara Bongard, La Liberté – 26 mars 2016
- "Les délirantes Crevures de S. M.", Pascale Stocker, Le Quotidien jurassien – 26 mars 2016
- "Le Jura sur la langue", Nicolas Verdan, Terre & Nature – 31 mars 2016
- Recension par Alain Bagnoud sur son blog – 22 avril 2016
- Recension par Fabien Vélasquez sur Sitaudis.fr – 5 mai 2016
- "Jeunes jours ivres au Jura", Stéphane Babey pour Vigousse – 13 mai 2016
- Recension par Francis Richard sur son blog – 25 mai 2016
- "Coups de mâchoires", Philippe Simon, Le Temps – 11 juin 2016
- Recension dans Jura l'original n°9 – juin 2016
- Recension dans Viceversa Littérature
- "Auteur sur HP", RFJ – décembre 2017, à propos d'une lecture de Crevures, @Edicion, Bienne
- Chronique littéraire de Valéry Rion, Actes SJE 2019

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Bolidage, libretto
recension par Thibault Walter sur sitaudis.fr – février 2015

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Pantogreffe
"Habiter l'espace public avec du son", QJ, Delémont – 03.08.2014

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Unstillbare Ruhewelle
Tageswoche – 18.06.2014

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Bolidages, performances, 2012-2014
- à Basel, 03.05.2014, Interview am frühen Morgen für die Tageswoche
- à Delémont, Cour du Château, 22.09.13, shootée et enregistrée par We Find Wildness 89
- à la Citadelle de Belfort, 28.09.13, recension dans Le Pays, 29.09.2013
- à Fribourg, 2012
"Dimanche, au cœur de la vieille ville de Fribourg, un ciel menaçant et lourd planait au- dessus des têtes. Toutes les conditions étaient ainsi réunies pour faire de Bolidage un moment de sublimation sonore et d’hallucination collective. Huit voitures de tuning ont amplifié la composition sonore composée par Antoine Chessex et interprétée à l’orgue par François Seydoux. Imaginé par Stéphane Montavon et mis en scène par Gilles Lepore, Bolidage a gagné son pari, en arrachant l’assistance à la pesanteur de l’espace et du temps."
in: Bilan, par François de Raemy, de la 29e édition du Festival Belluard Bollwerk International
- onsite comment by arttv.ch, 01.07.12
- linkart.org, 06.07.12
- "Un orgue au milieu des voitures", Elisabeth Haas, laliberté, 03.07.12
- migros magazine, 11.06.12, p.75

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Les écoutis le caire – 2010
"Et dans cette continuité, le temps du Caire, mélopée de la ville, flux, lié, indivis, sans tranches horaires. C'est Le Caire, oui, c'est le Caire, cette musique, le son des balais, le son des chantiers, les sons de l'artisanat qui se travaille dans la rue, les klaxons, bien sûr, identité du Caire, mais travaillés avec discrétion, en décalage du cliché, c'est Le Caire mais cette reconnaissance n'est que le bonus d'une musique, riche et forte, qui s'écoute pour elle-même et à laquelle, en contrepoint, le texte spatialisé apporte une construction par ruptures. Fait d'éclats, d'énonciations multiples, d'énoncés tronqués, disparates, le texte dit la pénétration du singulier par le commun, la fragmentation de la continuité, de la pensée, de la parole, de l'existence, dans cette ville qui la rend impossible et malgré l'impossible, malgré l'entrave, d'une vitalité passionnante, ce que le texte dit, dans le chahut des paroles qu'il fait surgir du blanc qui les coupe."
pour sitaudis.fr par Nicole Caligaris
- autres recensions sur Les écoutis le caire

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[wirvwar] – 2010
"Au Festival du Belluard, à Fribourg, les artistes suisses Gilles Aubry et Stéphane Montavon se sont appliqués à faire émerger par le son une poétique locale, celle du banal ou du disparu. Ils ont visité Conforama, aux portes de la ville, «high-definition dedans, autoroute dehors», la cathédrale ou les anciens abattoirs racontés par un homme qui y amenait des vieux chevaux. Au Caire, où ils résidaient à l'antenne de Pro Helvetia en 2007 et 2008, ils se sont appliqués à comprendre par le son le fonctionnement urbain: dans cette ville célèbre pour sa diversité et son intensité sonore, chaque catégorie de commerçant ambulant recourt à un signal différent: le vendeur de gaz tape sur ses bonbonnes, le brocanteur lance un cri issu d'un terme italien signifiant «antiquité». Ces manifestations sonores règlent aussi la répartition spatiale du lieu. Un CD, Les Ecoutis Le Caire (2010, Gruenrekorder) en est né. En 2009, c'est «l'économie du bâtiment» qu'ils explorent avec le dyptique Dalle sur sous-sol, sur la base d'un après-midi passé sur un chantier avec des ouvriers, entre accents immigrés, marteau-piqueur et vocabulaire spécialisé. «Ce qui aurait pu n'être qu'une simple nuisance – couler une dalle de béton – s'est révélé passionnant.» Gilles Aubry réfute au passage l'idée d'un bruit-limite que le corps humain ne saurait plus intégrer. Musicien, il joue dans un groupe de noise (Monno), et «aussi bien le volume que la nature des sons utilisés dépassent nettement l'agression sonore d'une ville. Pourtant, cette musique peut être synonyme de plaisir. Tout dépend de l'état d'esprit.» La notion de limite est dynamique."
extrait de « Bruit ou son, c'est selon », Le Courrier, Genève, 20 août 2010

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presse avant 2011